Administering an appeasing substance to beef calves at weaning to optimize productive and health responses during a 42-d preconditioning program 2020

Share This Post

Abstract:

This experiment evaluated the impacts of administering a bovine appeasing substance (BAS) to beef calves at weaning on
their performance, physiological responses, and behavior during a 42-d preconditioning program. Eighty calves (40 heifers
and 40 steers; 90% British × 10% Nellore) were weaned at 233 ± 2 d of age (day 0); ranked by sex, weaning age, and body weight (BW); and assigned to receive BAS (IRSEA Group, Quartier Salignan, France; n = 40) or placebo (diethylene glycol monoethyl
ether; CON; n = 40). Treatments (5 mL) were topically applied to the nuchal skin area of each animal following dam separation. Within treatment, calves were allocated to one of eight drylot pens (four pens per treatment; pen being the experimental
unit) and received a free-choice total mixed ration (TMR) from day 0 to 42, intake of which was assessed daily. Live behavior observations were conducted on days 1, 2, 4, 8, 16, and 32. Temperament was assessed and blood samples were collected via jugular venipuncture on days −21, 0, 3, 7, 14, 28, and 42. Hair samples were collected from the tail switch on days 0, 14, 28, and
42. Calves were vaccinated against bovine respiratory disease viruses on days −21 and 0. Average daily gain from day 0 to 42
did not differ between treatments (P = 0.57) but was greater (P = 0.05) in BAS vs. CON calves from day 0 to 28. Intake of TMR was greater (P = 0.05) during the first week for BAS vs. CON calves (treatment × week; P = 0.08). The mean proportion of calves feeding simultaneously and performance of social and play behaviors were greater (P ≤ 0.05) for BAS vs. CON calves. Escape attempts were greater (P < 0.01) for BAS vs. CON calves on day 1 (treatment × day; P = 0.03). Exit velocity was greater (P = 0.04) for CON vs. BAS calves on day 14 and tended (P = 0.10) to be greater for CON vs. BAS calves on day 7 (treatment × day; P = 0.03). Mean plasma concentrations of haptoglobin were greater (P = 0.02) in CON vs. BAS calves. Hair cortisol concentrations were greater (P = 0.05) in CON vs. BAS calves on day 14 (treatment × day; P = 0.03). Mean serum concentrations of antibodies against bovine viral diarrhea virus were greater (P = 0.02) in BAS vs. CON calves. Collectively, BAS administration to beef calves at weaning alleviated stress- induced physiological reactions, improved temperament evaluated via chute exit velocity, enhanced humoral immunity acquired from vaccination, and appeared to have accelerated adaptation to novel management scheme and environment. 

Auteur: Kelsey M. Schubach, Reinaldo F. Cooke, Courtney L. Daigle, Alice P. Brandão, Bruna Rett, Vitor S. M. Ferreira, Giovanna N. Scatolin, Eduardo A. Colombo, Genevieve M. D’Souza, Ky G. Pohler, and Bruno I. Cappellozza

En savoir plus: https://academic.oup.com/jas/article-abstract/98/9/skaa269/5896005?redirectedFrom=fulltext

Jetez un œil à nos autres articles

30 Irsea - naissance de l'Institut
Non classé

30 ans de recherche et d’innovation

Depuis 1995, l’IRSEA explore les langages invisibles du vivant. Fondé à Apt par le Dr Patrick Pageat, l’Institut est devenu un centre de recherche pionnier en sémiochimie et éthologie appliquée, avec plus de 40 collaborateur·rices et 400 brevets. Un institut de référence sur la communication chimique entre les espèces, pionnier et engagé pour une science éthique, innovante et utile, au service du vivant.

INSIDE IRSEA

Alessandro Cozzi : Directeur général

Directeur général et directeur recherche et enseignement de l’IRSEA, il supervise les équipes et les projets, entre science et gestion. Passionné par la recherche fondamentale et appliquée, il aime voir naître et évoluer les idées. Son rôle consiste aussi à accompagner les personnes et à bâtir un cadre pour faire grandir l’Institut. Inscrivant l’IRSEA dans une démarche One Health, il s’appuie sur une expertise pluridisciplinaire et le biomimétisme pour développer des solutions utiles au bien-être animal, à la santé animale et humaine.

INSIDE IRSEA

Ennia Bracco : Technicienne de recherche

Technicienne de recherche à l’IRSEA, elle réalise des analyses de matrices animales, végétales ou insectes pour identifier des molécules messagères chimiques. Elle collabore avec les chercheur·euses et ingénieur·es pour apporter des réponses concrètes aux projets scientifiques, retraitant et interprétant les données, rédigeant des rapports et assurant la gestion des déchets chimiques. Passionnée par l’exploration de l’inconnu, elle aime investiguer et se remettre en question chaque jour pour faire avancer la recherche.

INSIDE IRSEA

Aurore Lamy : Ingénieure de recherche en bio-informatique

Ingénieure de recherche en bio-informatique à l’IRSEA, Aurore collabore avec les chercheur·euses et chefs de département pour mener des travaux en recherche fondamentale et appliquée. Elle analyse les séquences protéiques, modélise et simule les interactions des sémiochimiques, et participe à la rédaction de résultats et à la veille scientifique. Passionnée par la modélisation et les simulations, elle aime comprendre le fonctionnement des sémiochimiques au niveau moléculaire et contribuer à des applications concrètes de ses recherches.