Notre histoire

1995
Création de PHEROSYNTHESE

L’institut voit le jour le 19 novembre 1995 à Apt grâce à Patrick Pageat et ses recherches sur les phéromones faciales du chat. L’institut porte, à cette époque, le nom de PHEROSYNTHESE

1996
PHEROSYNTHESE se développe petit à petit

PHEROSYNTHESE se développe, grâce notamment aux découvertes autour du chat, avec le produit Feliway sous contrats de licence avec SANOFI SANTE – NUTRITION ANIMALE conçu pour gérer les situations de stress mais aussi les comportements de marquage urinaire et le marquage par griffades.

En parallèle, nous commençons à nous intéresser à une espèce tout autre, le porc et découvrons la pertinence de la phéromone maternelle dans la gestion du stress animal.

Durant le début des années 2000, Nous développons également la phéromone maternelle apaisante de l’Homme.

Enfin, nous lançons une nouvelle voie de recherche, en parasitologie.

2005
Notre Production Scientifique S’intensifie

Notre production scientifique s’intensifie et contribue à soutenir les produits déjà commercialisés. Nous changeons le nom de l’entreprise afin de souligner son orientation scientifique Nous devenons IRSEA

Pour les 15 ans de notre société en 2010, nous organisons un symposium international à Apt, qui attire les scientifiques du monde entier. 

Nous développons également notre équipe avec de nombreuses arrivées et nous brevetons divers produits autour des insectes et des parasites, notamment sur le pou du Saumon, une piste qui nous semble essentielle d’approfondir tant elle est prometteuse.

En parallèle, Feliway, devient le premier produit vétérinaire pour le marché du comportement félin

2010
Déménagement

Nos équipes de recherche et nos laboratoires, sont devenus trop imposants pour notre siège de Saint Saturnin, Nous décidons de déménager. Toutes les équipes, vont participer à ce grand chantier pour nous permettre de nous installer dans ces près de 3000 mètres carrés. L’objectif d’emménagement pour fin octobre 2014, afin d’accueillir notre congrès international ainsi que le congrès annuel du Collège Européen de Médecine Comportementale, est atteint.

2015
Une Année Cruciale Pour Notre Développement.

Nous commençons à commercialiser de nouveaux produits issus de nos recherches sous contrat avec CEVA. Notamment une phéromone maternelle de jument, qui permet de contrôler le stress chez cette espèce très émotive, sous le nom « Equanimity » et une phéromone de chat, permettant d’orienter le choix du chat lorsqu’il fait du marquage par griffades « Feliscratch »

Le projet sur le pou saumon commence à déboucher. Nous isolons la première phéromone de saumon, qui, en laboratoire, donne des résultats impressionnants. Nous créons une plateforme de recherche en Norvège ; IRSEA-ARC, qui va nous permettre de disposer d’un laboratoire de recherche équipé, pour travailler sur les espèces d’eau froide.

Des travaux menés sur les cellules souches olfactives, et leur intérêt thérapeutique, sont lancés. Ils mettent très vite en évidence le potentiel de cette approche.

2016
C’est une période de très forte production scientifique pour IRSEA.

Nos efforts sur le domaine félin, sont couronnés de succès. Plusieurs brevets sont déposés dont « Feliway Friends », que CEVA lancera en fin 2017.

Nos travaux sur le pou du saumon, les insectes ravageurs et les parasites, s’accentuent et nous déposons plusieurs demandes de brevet.

Enfin, les programmes de recherche ciblant la mouche invasive Drosophila suzukii, et la cicadelle vectrice de la maladie du bois noir de la vigne et de la lavande (Hyalesthes obsoletus), permettent d’entrevoir une nouvelle voie de lutte, plus naturelle.

2017
Les investissements scientifiques réalisés au cours des 25 années de notre histoire, connaissent leurs premiers fruits.

CEVA lance « Feliway Optimum », le nouveau sémiochimique félin obtenu de façon totalement innovante, doté de propriétés qu’aucune phéromone naturelle de chat ne possède. 

En 2020, pendant le confinement, les chercheurs d’IRSEA continuent de travailler et nous identifions un composé issu d’un champignon, et une série de dérivés, possédant la capacité d’inhiber la protéase de plusieurs coronavirus, dont celui du covid19. 

Vous souhaitez nous contacter ?